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C'est le coeur qui lâche en dernier

Margaret Atwood

Comment définir ce livre ?! Là de suite, le premier mot qui me vient à l’esprit, c’est déception. C’est dur, je sais mais voilà, c’est ce qu’il m’inspire.


L’idée de départ est pourtant très bonne :

Un couple qui a tout perdu et vit dans une voiture intègre un programme expérimental dans une ville factice. Au programme : le plein emploi et l’opulence, logement, moyen de locomotion, produits frais, confort.

En contrepartie, ils doivent passer un mois sur deux en prison, pendant que leurs alternants vivent leur vie (vous me suivez toujours ?!). Tout déraille lorsque les alternants entrent en contact les uns avec les autres malgré les interdictions, sur base de sexe et de désirs.

Et là, ça part en cacahuète total !!!!

Des robots, des programmes TV tout droit sortis de Fahrenheit 451, la surveillance digne de Big Brother, des personnages insipides voire complètement antipathiques...

On m’avait vanté cette auteure pour La servante écarlate que je n’ai pas encore lu, maintenant je pense qu’il va me falloir du temps. J’avais nourri beaucoup d’espérance pour ce roman qui avait un speech encourageant et qui ne s'est pas révélé à la hauteur... ça fait roman de commande, roman bâclé parce qu’on s’est engagé auprès de l’éditeur... c’est bien dommage !

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