Gustave Flaubert
Un mois, c’est le temps qu’il m’aura fallu pour arriver au bout de ce « classique ». Un mois et quatre livres lus en parallèle, pour faire des pauses parce que franchement...
Le dernier quart, je dois l’avouer, a été le plus intéressant, le plus prenant, mais le reste, voilà quoi...
Je crois que le problème vient surtout de ce personnage, Frédéric, dont je me faisais une idée des plus romantiques et qui m’est apparu comme particulièrement léger, sans contenance, avec une susceptibilité à fleur de peau et cette capacité à manipuler son monde !
L’amour qu’il porte à Mme Arnoux est certes fort et long, il se montre incapable d’y être parfaitement fidèle, de jouant des sentiments des femmes comme de sa fortune trop facilement acquise...
Frédéric, amoureux transit ? Peut-être oui, mais de lui-même surtout et avant tout !
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