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L'Appel de la Forêt

Jack London

C’est un petit roman, presque une nouvelle.


C’est l’histoire de Buck, chien majestueux, vivant une belle vie dans une propriété du sud (des USA ?) jusqu’au jour où il est capturé pour être emmené au nord, auprès des chercheurs d’or du Canada.

Là, il sera maté, dressé, pour devenir un bon chien de traîneau. Un de ceux qui subissent et ne se rebellent plus contre l’homme. De déboires en rencontres, il subira la violence et les peines, la faim, la concurrence, la peur et le froid, bien sûr.

Il prendra sa place de leader dans la traîne de ses maîtres et fera valoir sa supériorité sur les autres canidés. Il s’essoufflera et se donnera corps et âmes pour remplir sa mission, jusqu’à être à la limite de la mort. Là, Thornton le sauvera à force de bons soins et d’amour. Le chien s’abandonnera à cet homme qui, enfin, le respectera.

Mais malgré cet amour et cette indéfectible loyauté, l’Appel de la Forêt se fera pressant et pesant, obligeant Buck à faire des choix et à renoncer à une part de lui, jusqu’à…

Je n’en dis pas plus, pas besoin. Je suis ravie d’avoir combler une lacune en lisant ce classique de la littérature américaine qui m’avait tant été vanté. C’est beau, c’est frais, c’est facile à lire mais on ne sort pas indemne de cette lecture : encore une preuve, s’il en fallait, que le chien est le meilleur ami de l’homme.

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