Philippe Lutz
Voici un petit essai qui m’avait fait de l’œil il y a quelques mois en librairie. Sa quatrième de couverture laissait présager un amour poétique de l’acte de lecture et de l’objet livre.
Heureux présage, confirmé tout au long de ces 144 pages.
Divisés en mini chapitres, les souvenirs de lecteur et de collectionneur de Lutz font écho en moi.
Pour la première fois depuis bien longtemps, j’ai été tentée d’écrire dans un livre, de surligner, de corner, pour ne pas oublier.
Et puis non. Je n’ai rien fait de tout cela. Pour me préserver le plaisir futur d’avoir à rouvrir ce petit ouvrage afin d’y trouver ce que j’y chercherai et redécouvrir ce que j’aurai omis...
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