top of page

Un paradis trompeur

Henning Mankell

Je le ferme à l’instant, ce roman magnifique, qui m’a permis de voyager du froid nord de la Suède à la chaleur du Mozambique.


Hanna doit quitter sa mère et sa famille pour les sauver de la famine. Elle trouve refuge chez un riche négociant en bois qui la fait embarquer sur un navire en partance pour l’Australie. Mais elle quitte le bateau au Mozambique et s’y installe.

Deux mariages, deux veuvages, 13 prostituées, un chimpanzé, de la haine, de la méfiance, des mensonges et l’incompréhension face à ce racisme qui malmène la colonie portugaise du début du XXème siècle.


Il n’y a pas à dire, j’aime l’Afrique. J’aime son histoire et ses douleurs, j’aime savoir que le temps a fait son œuvre et que les choses avancent, s’améliore. J’aime me reconnaître dans le personnage d’Hanna pour qui la couleur de la peau n’est rien qu’un détail qui ne devrait pas définir la valeur d’une personne.


Un très beau roman... très dur, mais très beau.

0 vue0 commentaire

Posts similaires

Voir tout

Comments


bottom of page