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Comme un roman

Daniel Pennac

Une de mes amies n’arrêtait pas de me le dire, depuis plusieurs mois : « lis-le Aurélie ! ». Et sans le savoir, j’ai suivi le conseil de Pennac, j’ai attendu le bon moment, sans raison particulière, et c’est ce week-end que je l’ai lu. Ce week-end que je l’ai aimé, ce week-end que j’ai compris pourquoi il me fallait le lire !

« Je n’ai jamais eu le temps de lire, mais rien, jamais, n’a pu m’empêcher de finir un roman que j’aimais. La lecture ne relève pas de l’organisation du temps social, elle est, comme l’amour, ; une manière d’être. La question n’est pas de savoir si j’ai le temps de lire ou pas (temps que personne, d’ailleurs, ne me donnera), mais si je m’offre ou non le bonheur d’être lecteur ».

La lecture offre au lecteur un plaisir égoïste et personnel et Pennac donne à déculpabiliser sur notre rapport aux livres et à ce qu’ils contiennent. Il donne aussi de belles réflexions pour mieux accompagner les autres vers la lecture, s’ils en ont envie bien sûr !

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